The Mortal Instruments, Tome 2 : la Cité des Cendres, Cassandra Clare
QUEL LIVRE ?
Le Monde Obscur est en émoi depuis le meurtre mystérieux d'un loup-garou survenu devant le Hunter's Moon. Du côté des Chasseurs d'Ombres, Valentin est de retour et une guerre sanglante se prépare.
Pris dans la tourmente des événements, Clary et Jace se lancent à corps perdu dans la lutte sans merci qui oppose les défenseurs du bien aux forces du mal. Un combat qui les mènera des souterrains de la Cité Silencieuse aux eaux sombres de l'East River...
CE QUE J’EN AI PENSÉ :
Rien de neuf sous le soleil. Je trouve toujours l’écriture assez enfantine (il faudrait que je les lise en VO pour savoir si c’est la traduction ou non) et je ne me suis pas encore attachée au personnage, sauf Simon, mon chouchou !
Au début du tome, le rôle de Jace est remis en doute. Espion de Valentin ? Fils trahi ? Traitre aux Chasseurs d’Ombre ? S’ensuivent des évènements tragiques.
Bref, Valentin semble se préparer une armée et les jeunes (comme s’ils avaient le poids du monde sur leurs épaules, nan mais franchement ...) se doivent de l’arrêter.
Clary + Jace : aaah, je trouve ça malaisant.... !! Mais ça allait mieux à la fin du tome. Surtout que c'est le couple phare de la série, et avec les indices disséminés dans ce tome, je ne doute pas que l'auteure va nous trouver un moyen de les mettre ensemble. Bon, je ne vous apprends rien, je n'aime ni Jace, ni Clary, mais ça va peut-être s'améliorer dans les prochains tomes.
J'ai eu un gros doute concernant cette série. J'ai fait une pause dans la lecture, peu après la moitié du tome. Et puis après deux semaines, je m'y suis remise, et bam, c'était presque une révélation, j'ai apprécié la fin de ma lecture ! Il s'est passé plein de choses qui ont vraiment rendu le récit vivant et intriguant. Valentin a bien monté son armée de démons (un peu trop fantaisistes à mon goût, Cassandra Clare aurait pu faire de meilleures descriptions) et il est prêt à les relâcher sur les Chasseurs d'Ombres...
POUR VOUS ALLÉCHER :
- Les garçons, intervint Isabelle, qui inspectait son reflet dans le miroir de l’ascenseur, ne vous disputez pas !
Elle se tourna vers eux avec un sourire radieux :
- Bon, on a eu droit à un peu plus d’action que prévu, et alors ? Moi, j’ai trouvé ça drôle.
Alec la dévisagea quelques instants avant de secouer la tête.
- Comment tu te débrouilles pour ne jamais te salir ? Isabelle haussa les épaules d’un air philosophe :
- C’est parce que j’ai le cœur pur. La boue ne m’atteint pas.
APPRÉCIATION : 3,5/5