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Mercy Thompson, Tome 6 : La Marque du Fleuve, Patricia Briggs



QUEL LIVRE ? Avec toutes leurs responsabilités, Mercy et Adam n'ont pas une minute à eux. Alors quand ils parviennent enfin à prendre quelques jours de vacances dans ce charmant camping au bord de la Columbia, ils n'ont qu'une idée en tête: être au calme et ensemble. Mais le repos est de courte durée pour les amoureux, car une menace rôde dans les eaux troubles du fleuve et Mercy est la seule à pouvoir la contrer. Une mission qui pourrait bien jeter une lumière nouvelle sur les origines de la jeune femme...

CE QUE J'EN AI PENSÉ :

Mercy est une série que j'ai commencé il y a fort fort longtemps. J'aime le caractère de l'héroïne et l'univers dépeint.


J'ai eu du mal à avancer dans ce sixième tome, car au bout de quelques chapitres, je me suis rendue compte que je l'avais déjà commencé il y a quelques années ! Je me disais bien que les premiers chapitres avaient un quelque chose de déjà-vu. Du coup, j'avais déjà presque lu la première moitié et m'étais arrêtée là. J'ai du faire un overdose de Mercy à l'époque, c'est ce qui m'arrive quand je veux lire plusieurs tomes à la suite.


Ici, Mercy et Adam partent en lune de miel. Sauf qu'ils ont été envoyés par Oncle Mike pour une raison mystérieuse au bord d'un fleuve. En effet d'étranges évènements s'y déroulent, d'où La Marque du Fleuve. Il s'avère qu'un monstre marin y rôde et dévore les nageurs. Et c'est bien sûr à notre coyote de l'arrêter.

Donc, quelques épreuves dans ce tome mais surtout des révélations sur la nature de Mercy. On découvre le grand Coyote et quelques anecdotes et histoires intéressantes amérindiennes.

POUR VOUS ALLÉCHER :

Je me réveillai le lendemain matin au son de l'estomac d'Adam qui grondait sous mon oreille.

- Désolé, dit-il, trop de métamorphoses, et pas assez de nourriture.

Je tapotai son ventre musclé et lui embrassai le nombril.

- Mon pauvre petit ventrounet, lui dis-je, il te traite mal, hein, ce méchant Adam ? Ne t'en fais pas. Moi, je vais te donner à manger.

Le rire d'Adam fit battre mon coeur un peu plus vite.

- Allons petit-déjeuner quelque part et faire quelques courses.

Et il ajouta, prouvant que même quand il avait autre chose à penser, il m'écoutait quand même :

- Tu pourras t'acheter quelques vêtements.

APPRÉCIATION : 3,5/5

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